Voici ma préférée, celle qui me venait tout le temps dans la
tête quand j’ai eu mon petit garçon.
tête quand j’ai eu mon petit garçon.
Je n’ai eu à changer qu’un prénom.
Je n’ai eu à changer qu’un nom commun.
Et elle était là, cette chanson, si vraie.
Wolfgang, y a tant de femmes que je ne suis pas.
Y a tant de phrases qu'on dit, que je ne te dirais pas.
Oh oh, Wolfgang, j'aurais tant à apprendre de toi.
Tous ces mots tendres qu'on sait, moi je ne les sais pas.
J'ai poussé comme on respire,
Sans abri, ni foi, ni loi.
Ce qui m'a fait vivre était en moi.
Des caresses et des sourires,
J'ai souvent passé mon tour.
Je n'ai jamais appris à donner tant d'amour.
Wolfgang, le temps passe et me remplit de toi.
J'n'avais besoin de personne et tant de place pour toi.
Oh oh, Wolfgang, petit rien du tout mais tant pour moi.
Tous ces conseils qu'on donne, tu ne les entendras pas.
J'ai dépensé tant de forces
Pour des empires en papier
Des rêves déjà presque oubliés,
Mais que le diable les emporte !
Tout me semble dérisoire,
Evaporé dans le bleu de ton regard.
Wolfgang, Wolfgang,
Oh oh oh, Wolfgang,
Je n'attendais rien de toi, qu'une raison d'être là,
Juste une trace avant de partir.
Oh oh, mais de tes rires et de tes bras,
Tu m'inventes un avenir, te regarder pousser me fera grandir.
Oh oh oh, Wolfgang.
Oh oh oh, Wolfgang.
Oh oh oh, Wolfgang.
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