Nouvelle
interview du candidat de la République En Marche par l’Union des Français du
Benelux
Extraits :
«
Comme je l’ai dit, je veux être un acteur de terrain et cela nécessite de nouer
des contacts étroits avec les nombreuses associations de bienfaisance ou de
solidarité des Français de l’Étranger. Le travail qu’elles exercent au niveau
local est fondamental. Je pense notamment à celles qui travaillent autour du
handicap, des difficultés financières, de logement et de l’emploi, mais
également à celles qui favorisent l'accès à la culture ou encore qui
conseillent les personnes désireuses de lancer leur projet.
Je
vais aller fréquemment à leur rencontre et me nourrir de leur vécu pour
alimenter mon travail parlementaire et porter leur voix à l’Assemblée
nationale.
Bien
sûr, l’aspect financier est essentiel pour qu’elles puissent mener à bien leurs
tâches. C’est pour cela que je m’engagerai à faire tout ce qui est en mon
pouvoir pour les aider à trouver des sources de financement stables.
Recourir
au financement via de l’argent mis à la disposition d’un député n’est pas la
solution idéale car elle crée un lien de dépendance malsain. Dans le projet de
loi de moralisation que le gouvernement porte, la réserve sera donc supprimée,
mais les sommes serviront désormais à alimenter un fonds d’action pour les
territoires et les projets d’intérêt général, soumis à des critères stricts. »
[…]
« Enfin,
il est un autre sujet qui me tient particulièrement à cœur. Je souhaite faire
de la protection et de l’insertion des personnes en situation de handicap une
des priorités de mon mandat. Il faut absolument que nous mettions en œuvre un
plan d'action pour apporter une réponse aux 47 500 personnes aujourd'hui « sans
solution ». »
Voir
l’interview intégrale ici
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