Oh oh…
Vu : un article de presse sur une ministre de l’Éducation
Nationale qui refuse de rencontrer des mamans d’enfants autistes. (Il faut dire
que ça fait tache quand vous assurez depuis la rentrée scolaire que l’école de
la République scolarise tous ses enfants alors que, dans la réalité, beaucoup d’enfants
en situation de handicap n’accèdent pas à l’instruction)… Embêtant ces familles
qui se pointent avec leurs enfants hors-la-loi hors-l’-école… (C’est l’école
qui est hors-la-loi)…
Une journaliste régionale rend compte de cet
incident ? Qu’à cela ne tienne, il suffit que le PDG du journal soit aussi
ministre, c’est-à-dire collègue de la première, pour que pouf… l’article
disparaisse du site du journal.
Les réseaux sociaux s’enflamment ? L’article
réapparaît, avec un paragraphe en plus, précisant que la ministre avait
rencontré auparavant une autre maman.
J’en connais une qui doit écrire son CV à l’heure
qu’il est…
Vous pensez cette histoire invraisemblable ?
Lisez cet article.
Dans d’autres pays, des ministres auraient
démissionné pour moins que ça. Rassurez-vous, on est en France, et puis les
enfants en situation de handicap n’intéressent que les familles concernées. Celle qui risque d'être "démissionnée", c'est peut-être bien la journaliste...
Il fallait bien aussi que l’autisme ait son Watergate.
Ça commence à faire beaucoup, après les
millions pris au fond handicap pour l’emploi dans la fonction publique (la FIPHFP)
pour sécuriser les établissements d’enseignement supérieur. Vous ne me croyez
pas non plus ? Si, si…
ll
revient à ma mémoire
Des
souvenirs familiers
Je revois ma blouse noire
Lorsque j'étais écolier
Sur le chemin de l'école
Je
chantais à pleine voix
Des
romances sans paroles
Vieilles
chansons d'autrefois
Douce France
Cher pays
de mon enfance
Bercée de tendre insouciance
Je t'ai
gardée dans mon cœur !
Mon
village au clocher aux maisons sages
Où les enfants de mon âge
Ont partagé mon bonheur
Oui je
t'aime
Et je te
donne ce poème
Oui je
t'aime
Dans la
joie ou la douleur
Douce France
Cher pays
de mon enfance
Bercée de tendre insouciance
Je t'ai
gardée dans mon cœur
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