jeudi 21 novembre 2019

Le gouvernement Macron ou loin de la parole aux actes


Plus de SDF dans les rues, plus d’enfants autistes obligés d’aller en Belgique… elles étaient belles les promesses du candidat de la Start-up nation. À la moitié du quinquennat, qu’en est-il de « l’exil » des personnes handicapées en Belgique ?

Non, non rien n’a changé, sauf que maintenant on refuse la solution belge aux familles (c’est même un peu plus vicieux subtil que cela : on refuse de la financer).

Extraits de l’article de la Voix du Nord de ce jour :

Tourcoing: une issue pour Imrane, autiste privé d’école pour défaut de transport ?

[…]

Le cas du petit Imrane est loin d’être isolé, comme en témoigne Isabelle Resplendino, présidente de l’Association pour les Français en situation de handicap en Belgique.

[…]

La présidente de l’association affirme que l’an dernier, la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie a réuni toutes les Maisons départementales du handicap des Hauts-de-France* pour les inciter à trouver des solutions d’orientation « même partielles, même inadaptées, même plus éloignées » en France. Ce qui fait craindre à la présidente « que les orientations MDPH ne soient pas renouvelées ou accordées pour la première fois ».
« J’ai ainsi beaucoup de familles dont les transports ou l’hébergement en Belgique sont refusés, même en plein milieu des études. C’est un scandale sans nom, un double discours du gouvernement qui prétend faire cesser l’exil en Belgique mais ne fait que cesser son financement », dénonce-t-elle.
Pour lire l’article en entier, si vous n’êtes pas abonné, vous pouvez visionner une publicité.


*et aussi d’Île-de-France et du Grand-Est

Aucun commentaire: