Plus de SDF dans les rues, plus
d’enfants autistes obligés d’aller en Belgique… elles étaient belles les
promesses du candidat de la Start-up nation. À la moitié du quinquennat, qu’en
est-il de « l’exil » des personnes handicapées en Belgique ?
Non, non rien n’a changé, sauf
que maintenant on refuse la solution belge aux familles (c’est même un peu plus
vicieux subtil que cela : on refuse de la financer).
Extraits de l’article de la Voix
du Nord de ce jour :
Tourcoing:
une issue pour Imrane, autiste privé d’école pour défaut de transport ?
[…]
Le cas du petit Imrane est
loin d’être isolé, comme en témoigne Isabelle Resplendino, présidente de
l’Association pour les Français en situation de handicap en Belgique.
[…]
La présidente de l’association affirme que l’an dernier,
la Caisse
nationale de solidarité pour l’autonomie a réuni toutes les
Maisons départementales du handicap des Hauts-de-France* pour les inciter à
trouver des solutions d’orientation « même partielles, même inadaptées,
même plus éloignées » en France. Ce qui fait craindre à la présidente
« que les orientations MDPH ne soient pas renouvelées ou accordées pour
la première fois ».
« J’ai ainsi beaucoup de familles dont les
transports ou l’hébergement en Belgique sont refusés, même en plein milieu des
études. C’est un scandale sans nom, un double discours du gouvernement qui
prétend faire cesser l’exil en Belgique mais ne fait que cesser son financement »,
dénonce-t-elle.
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*et aussi d’Île-de-France et
du Grand-Est
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