Commission
conjointe :
Parlement
de Wallonie, Commission des Travaux Publics, de l’Action sociale et de la Santé
Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Commission de l’Éducation, de la
Culture et de l’Enfance
Parlement Francophone Bruxellois, Commission des Affaires
Sociales.
Ordre du jour à lire ici.
Bulletin à lire ici.
Interview du Ministre Maxime Prévot ici.
Exposé de Maxime Prévot, Céline Fremault,
Marie-Martine Schyns, Alda Gréoli, suivi de questions des députés/réponses des
ministres.
[NDLR : ceci n’est pas exhaustif, mais reprend les principales notes prises lors de cette
matinée par l’APEPA.]
Les
Ministres n’ont pas pu aller au bout des slides (33 pages
et, vers 10h, la Présidente a
imposé aux Ministres de s’arrêter à la 15e pour laisser
du temps aux questions
parlementaires, ce qui fait que nous n’avons
pas toutes les données chiffrées
ni les échéances).
Néanmoins, cette commission conjointe était
très intéressante pour connaître l’avancement du Plan, seulement 9 mois après
son lancement le 25 avril 2016.]
Huit axes communs développés dans ce
plan :
1.
La
réalisation d’un état des lieux du manque de solutions pour les personnes
atteintes d’autisme ou de handicap de grande
dépendance
2.
Le
dépistage et l’annonce du handicap
3.
L’information,
la sensibilisation
4.
La formation
5.
L’adaptation
de l’encadrement à la population prise en charge
6.
Le
suivi pour une meilleure transversalité
7.
Assurer
une participation à la vie sociale
8.
Améliorer
le transport scolaire
1. La réalisation d’un état des lieux du
manque de solutions pour les personnes atteintes d’autisme ou de handicap de
grande dépendance :
Liste unique AViQ (Région Wallonne) pour les
adultes : effective depuis le 31/12/2016 : 174 adultes en attente d’une
solution, cela concerne divers handicaps.
Pour les enfants, c’est en cours à l’AViQ
(chiffres à venir cette année) Pour l’école, ce sont les listes du ministère de l’Éducation.
Pour PHARE (Bruxelles francophone) : Cas
prioritaires : 249 adultes avec polyhandcap, 26 avec autisme, 41 relevant d’un
double diagnostic. 81 jeunes dont 19 avec autisme et 10 en double diagnostic.
Certains jeunes sont à l’école, mais les parents réclament par exemple du
répit.
[NDLR : Le nombre des personnes en attente n’a
pas été fourni (uniquement les cas prioritaires), d’après les chiffres transmis
à une autre occasion, ce serait de l’ordre de 500 personnes à Bruxelles.]
Cette liste sera croisée avec celles des établissements
pour éliminer les doublons possibles.
Pour l’enseignement, il y a actuellement 4
enfants sans solution. Le site web recensant la liste des places dans les écoles fondamentales précisera celles qui sont à pédagogie adaptée
[NDLR : c’était une
demande de l’APEPA] et il s’étendra aux écoles secondaires. Il sera
complété en partenariat avec les places « jeunes » des régions wallonne et bruxelloise.
2. Le dépistage et l’annonce du handicap :
La Plateforme pour l’Annonce du Handicap [NDLR
: dont l’APEPA fait partie]
recevra 60 000 euros par an, financement qui sera pérennisé.
Le projet START de formation des médecins et pédiatres au repérage, en pilote depuis
quelques années sur des arrondissement hennuyers, s’étendra à toute la
Fédération Wallonie-Bruxelles et deviendra STARTER,
par un financement commun CAP48,
régions wallonne et bruxelloise.
[NDLR : le projet START avait été lancé à la demande de l’APEPA sous la
législature précédente].
Une brochure de repérage et de diagnostic sera aussi
diffusée.
3. L’information, la sensibilisation :
L’ONE assurera une
sensibilisation, 4 modules en ligne, d’autres en développement. [L’APEPA a introduit un projet auprès de
CAP48 de sensibilisation et d’information des familles via les médecins
généralistes, les pédiatres et les paramédicaux.]
4. La
formation :
Le Guide AViQ des Bonnes Pratiques sera distribué au
service en ce début d’année. 17 modules de formation sont prêts pour 2017 à
l’AViQ (pôle 3).
Des appels à projets seront lancés pour des formation
par Internet par les services
d’un montant maximum de 2500 euros par an.
Il y a eu 2 modules de formation aux familles en 2016 et il y aura des nouveaux en plus en 2017.
Il y aura une journée
de conférences pour ces formations pour les professionnels, une autre pour les
familles.
L’APEPA organise aussi des formations.
Pour la Fédération Wallonie-Bruxelles, les
formations autisme de l’IFC seront maintenues et renforcées.
La FWB a investi en 2014/2015 et 2015/2016
64000 euros pour la formation. À ce jour, 430 personnes de l’enseignement sont
formées à l’autisme.
Le site Internet Participate-Autisme a reçu 30
000 euros.
Une fiche autisme
sera disponible sur le site internet du Ministère. 100 000 euros ont été investis
pour ces fiches dont fait partie celle pour l’autisme.
La Fondation SUSA a reçu 5400 euros pour
établir une brochure de formation par rapport au Plan Autisme.
PHARE lancera des appels à projets pour des
formations et des conférences de sensibilisation professionnels et parents
5. L’adaptation de l’encadrement à la
population prise en charge :
Création de places à l’école cette rentrée 2016-2017 : 395
000 pour Liventourne
440 000 pour Les Fantastiques
1 million pour les As’trôn’autes (le Ministère et l’administration travaillent d’arrache-pied pour
résoudre les problèmes d’aménagement qui ont fait l’actualité ces derniers temps).
Pour la rentrée
de septembre 2017, 8 dispositifs de classes inclusives seront ouvertes. Le budget
supplémentaire est de 150 000 par CAP48, 100 000 par la FWB, 50 000 par la RW
et 20 000 par BXl. Les appels à
projets sont en préparation.
6. Le suivi pour une meilleure transversalité :
Le continuum du parcours de la personne depuis
l’enfance jusqu’à la fin de vie, en passant par l’ONE, l’enseignement, le
handicap afin d’éviter les ruptures et les régressions : une étude de
faisabilité sera effectuée par l’ONE. ONE s’occupe du Care, et non pas du Cure.
7. Assurer une participation à la vie sociale :
Pour Bruxelles, Handisport a reçu 50 000 euros.
Il y a eu 12 appels à projets en 2016 comme
le service « La Soucoupe » qui propose des loisirs aux enfants avec TSA
et troubles psychiques. Ces appels à projets seront renouvelés en 2017.
Plus de 300 000 euros pour les services
d’accompagnement en 2017 dont ceux pour l’autisme et le polyhandicap.
Il y aura une nouvelle politique de
handistreaming : un volet handicap prévu dans chaque nouvelle loi, comme un
conseiller handicap est déjà en place dans chaque cabinet.
8. Améliorer le transport scolaire :
Un groupe de travail est déjà en place
(commissions de transport scolaire).
À BXL, la Ministre a demandé à son homologue en
charge du transport d’envisager un projet de voies prioritaires pour les bus
scolaires.
[NDLR : Ici, vers 10h, la présidente décide
d’arrêter la projection afin que les député-e-s aient le temps de poser des questions et recevoir les réponses ; les parlementaires recevront la
présentation PPT plus tard ;
Certains points des axes communs ont aussi été plutôt cités dans les réponses
aux parlementaires qui avaient lu le plan que dans la présentation.]
Intervention
de Virginie Defrang-Firket (MR) :
Regrets de l’absence de M. Marcourt, en charge
de la formation initiale, dans ce plan, et aussi Rachid Madrane, en charge des
sports, puisqu’on parlait de sport et de handicap. [NDLR : d’autres députés par après ont exprimé les mêmes regrets,
également pour l’absence de Mme De Block, cette absence étant aussi déplorée
par les Ministres Prévot et Fremault].
Mme Defrang regrette également le manque de calendrier,
d’échéances claires, bien qu’il y en ait à présent plus que dans la première
version du Plan. [NDLR : Il s’agit
de la même version, mais les actions se mettent en place depuis la sortie du
Plan]. Elle constate qu’il n’y a pas non plus de grille budgétaire. Que les
projets pilotes ne doivent pas rester en l’état et s’étendre.
Elle pense avoir entendu depuis 2 ans l’annonce
faite par M. Prévot des 10 millions, ne serait- ce pas des fonds nouveaux ?
Elle a aussi entendu 4 millions pour des nouvelles places, alors que les
budgets de certains services sont rabotés.
Elle dénonce aussi le fait de parler
d’approches plurielles dans le Plan afin de faire plaisir
à tout le monde plutôt que de
soutenir des bonnes pratiques sous-exploitées.
Dans la réforme de la psychiatrie adulte,
l’autisme n’est pas assez pris en considération pour les plus de 21 ans.
La situation de l’emploi des personnes autistes
n’est pas non plus prise assez en considération. Elle demande aussi à ce qu’on
anticipe les demandes et les besoins et qu’il n’y a pas que l’autisme à
dépister.
[NDLR : Dans le n°144 d’ANAE, vous trouverez un
article sur START, qui dit que le projet s’étend en fait au repérage des
troubles précoces de la communication et des interactions sociales, comme le
dira plus tard dans la matinée Mme Gréoli]
Pour le renforcement des Centres de Référence
en Autisme, Mme Defrang demande aussi plus de précisions, notamment sur le
budget prévu, car 8 mois d’attente en moyenne pour un enfant et 2 ans ! pour un
adulte c’est trop.
Pour
la formation en résidentiel des parents, elle demande aussi les dates et le
budget. Elle demande une répartition géographique pour les classes inclusives.
Elle demande un comité de pilotage.
Intervention
de Mme Véronique Salvi (CDh) :
Statistiquement,
45 000 familles sont concernées par l’autisme en FWB.
Intervention
de Mme Caroline Persoons (DéFI) :
Demande pourquoi les Recommandations de Bonnes Pratiques
ne sont pas possibles en régions.Et
demande une évaluation du plan.
Intervention
de Mme Catherine Moureaux (PS) :
85 000 à 100 000 enfants ne passent pas par les
consultations ONE. Que fait-on pour repérer les signes chez eux ?
Les procédures de diagnostic et les prises
en charge sont parfois obsolètes. Il faudrait appliquer les recommandations de bonnes pratiques.
La Villa Indigo
n’est pas pour les enfants
avec autisme il faudrait étendre
ce genre de solutions
à toute la Wallonie et BXL.
Intervention
de Mme Christie Morréale (PS) :
La réforme en cours de la formation initiale
des enseignants devrait intégrer les besoins éducatifs particuliers. Mme Morréale
déplore que les jours de formation continuée
soient moins nombreux dans
l’enseignement spécialisé que dans l’enseignement ordinaire, pour des
difficultés de remplacement du titulaire en formation.
Intervention de Mme
Jacqueline Rousseau (MR) :
On manque d’objectifs concrets à développer,
mais nous n’avons pas vu tous les slides. Les projets-pilotes ne seraient-ils
pas l’arbre qui cache la forêt ?
5400 pour la brochure par le SUSA, en comptant
l’élaboration et l’impression, c’est bien peu. Cela aurait pu coûter 10 fois
plus si c’était le gouvernement à la manœuvre !
Il faudrait communiquer au grand public sur des
personnalités célèbres avec Syndrome d’Asperger, comme Bill Gates.
Intervention
d’une autre parlementaire :
Afin que les parents n’aient pas à répéter sans
cesse les mêmes choses à chaque nouvel intervenant, il faudrait un document qui
recense les informations. [NDLR : ceci existe déjà, il s’agit du « carnet de
route » de Participate]
Il y a un manque de coordination entre la santé
et l’enseignement. La communication ne doit pas dépendre uniquement des bonnes
volontés.
Ce
principe des classes inclusives est très bien, mais actuellement, un jeune
garçon avec syndrome d’Asperger qui est en 6e primaire avec une moyenne
de 70 % n’a trouvé aucune école secondaire qui l’accepte l’année
prochaine, sauf une seconde différenciée. Il devra donc rater son CEB pour
pouvoir poursuivre sa scolarité.
Intervention
d’André Dubus (CDh) :
M. Dubus remercie les associations présentes [NDLR
: L’APEPA, le GAMP, et Autisme en action.] Il demande si les places
annoncées sont des places autisme ou handicap ? Regrette aussi que Mme De Block
soit absente pour le Double Diagnostic. Pour le DD, il n’y a rien à Bruxelles et
les familles sont obligées d’aller en Flandre ou en Wallonie.
Intervention
d’une autre parlementaire :
Qui demande un tableau de bord, des délais, qui
va piloter ? Et quid de l’Early Start Denver Model (ESDM) pour les
interventions intensives précoces.
[NDLR : lors de la table ronde autisme, l’APEPA
était arrivée avec le projet CAPRADEM : Classes à pédagogie renforcée Autisme
d’enseignement maternel avec de l’ESDM, ABA, TEACCH, communication alternative
et augmentative pour les classes inclusives. Mais la plupart des demandes
(familles et écoles) concernent plutôt le primaire, d’après les échos du
terrain.]
Intervention de
Clotilde Leal-Lopez (CDh):
Mme Leal-Lopez regrette
que les recommandations du KCE et du CSS n’aient pas été intégrées dans le plan autisme. Elle
demande si on sait pourquoi il y a un ratio de 4 à 5 garçons pour une fille atteinte.
Elle demande si on a fixé des dates et un
contenu pour les journées de conférence sur les formations, quelle
communication sera adressée à ce sujet aux familles et au secteur.8.
Intervention
d’Isabelle Emmery (PS) :
Mme Emmery encourage vivement ses collègues à
aller voir la merveilleuse pièce « Is there life on Mars ? » sur l’autisme.
Bien sûr pour la pièce, mais aussi pour l’accueil, avec guide à l’attention du
public très bien fait, que ce soit les explications de l’autisme pour le public
ou la préparation des personnes avec autisme à cet évènement.
Intervention
d’Evelyne Huytebroeck (Écolo) :
Regrette aussi l’absence des autres ministres
concernés et du fédéral et l’absence de références
aux recommandations dans le plan. Demande aussi si ce sont de nouveaux budgets
ou des budgets déjà prévus ?
Réponses
de Maxime Prévot :
On ne peut pas faire en 9 mois ce qu’on n’a pas
fait en 9 ans. 30 millions pour la Grande Dépendance avait été votés par le
gouvernement précédent, en 6 tranches de 5 millions de 2013 à 2018. Cette tranche-ci de 2 fois 5 millions a été consacrée à l’autisme et au double
diagnostic, c’est une première. La prochaine sera pour le polyhandicap et les personnes cérébro-lésées. Il y
a encore un appel à projets en cours pour l’ouverture de places pour la gestion
de crise et des places en répit. [NDLR :
l’APEPA a participé au jury qui s’est réuni le 12/1, les sélections sont en
phase d’être présentées au Parlement avant d’être rendues publiques
prochainement.]
La couverture territoriale doit être mise en balance avec
la qualité des projets.
En ce qui concerne les crédits nouveaux, on a augmenté
de 20 % les cas prioritaires de l’AViQ,
dont la majorité des cas sont des TSA. Il y
aura des crédits supplémentaires pour 2017.
Comment ventiler les 4 millions des projets
autisme ? Il y a un coût de fonctionnement pour pérenniser, plus un surplus
pour des besoins complexes et urgents.
Les dotations des services ne sont pas
diminuées ; mais à présent, la part contributive des familles va directement au
service et n’est pas reversée à l’AViQ, ce qui fait que mécaniquement, l’AViQ
verse moins, mais l’établissement ne reçoit pas moins.
En ce qui concerne les approches, on a respecté
la diversité car ce n’est pas le rôle du ministre de choisir. Les études
n’ont pas été annexées au plan car alors on aurait reproché
au plan d’être un condensé de ces études.
[NDLR : lors de la Journée Annuelle de l’APEPA
qui avait pour thème les Bonnes Pratiques, 2 mois après le lancement du plan,
les références aux recommandations de bonnes pratiques ont été bien cernées,
voir le compte rendu ici.]
En ce qui concerne l’offre de proximité, un
dossier pour un CRA supplémentaire est en cours dans la zone géographique de
l’axe national 4.
Nous n’avons pas mis trop de dates butoir à 2017 pour éviter les reproches si les jalons n’étaient
pas respectés.
Depuis les groupes
de travail sur le transport scolaire, nous sommes passés de 12 % de trajet
de bus de + de 3h à 6,1 %, ce qui est évidemment encore trop. La Région
Wallonne se penche en ce moment sur un programme de formation des convoyeurs. [C’était une demande de l’APEPA
lors de la réunion du 5 décembre dernier
au Cabinet Prévot avec la Ministre Schyns et des représentants des autres
Ministres concernés, et à laquelle Les Bulles des Autistes et Inforautisme
avaient été précédemment conviées mais avaient décliné l’invitation].
Non sans humour, le Ministre a rappelé qu’il a travaillé
avec les associations, sauf, s’il faut le dire, le GAMP/Inforautisme avec laquelle
ils se regardaient en « chiens de faïence » et qu’il appelle à collaborer de
manière constructive. Voir ce communiqué à ce sujet.
Réponses de Céline Fremault :
Il y a des services d’accompagnement pour les crèches,
comme Okapi ou l’Étoile Polaire. Il faut relayer le projet Double Diagnostic
auprès de Mme De Block.
PHARE fait des appels
à projets pour les formations aux familles ; il faut voir sur le site internet.
L’opération de sensibilisation à l’autisme « Les Chaussettes Bleues » est subsidiée.
Réponses d’Alda Gréoli :
5 formations de parents
sont décentralisées, 3 à l’AViQ dont 4 thématiques autisme :
ü Autisme et caractéristiques
communes ;
ü Autisme et activités
quotidiennes ;
ü Autisme et vie
affective et sexuelle ;
ü Autisme et gestion du comportement.
Pour 180 personnes.
Le Ministre Marcourt a intégré la détection des
dys/handicap/TSA dans la réforme actuelle de la formation.
La formation des métiers d’accueil est revue
(peut être allongée en fonction des fonctions
pour l’appréhension du handicap), sans oublier les formations continuées.
Pour les enfants de 0 à 3 ans : les projets
petite enfance concernent 174 enfants dont 18 avec Trouble envahissant du
développement, 79 avec difficulté non spécifiée du développement (en cours de diagnostic).
4 modules de formations sont disponibles et des
modules supplémentaires sont en développement.
Réponses de
Marie-Martine Schyns :
La couverture géographique est une chose, mais
il y a aussi les réseaux d’enseignement et il faut aussi que la couverture des
réseaux soit respectée, et surtout répondre aux besoins où ils sont.
On travaille très régulièrement avec les associations, avec l’APEPA. En ce qui concerne les cas
non résolus, ils sont au nombre de 4 enfants qui n’ont pas de place.
Pour la formation
continue, c’est 3 jours obligatoires pour tous, que ce soit dans l’enseignement ordinaire ou
l’enseignement spécialisé + 6 demi-journées facultatives pour l’enseignement
ordinaire car c’est plus déstabilisant de remplacer un enseignant du spécialisé. Dans le cadre du
Pacte d’Excellence, on va y réfléchir.
5400 euros c’est
le SUSA qui a budgété
son travail (sans
frais d’impression, juste la conception de la brochure).
À la fin, Julie De Groote a rappelé qu’à chaque
rentrée parlementaire à Bruxelles, le GAMP faisait un sit-in.
Compte rendu par :
Isabelle Resplendino, Administratrice
Alice Suls, Vice-Présidente
2 commentaires:
Bonjour,
Je voudrais savoir de quels 17 modules de formation il s'agit dans le communiqué ci-dessous?
Merci beaucoup d'avance pour la réponse
Le Guide AViQ des Bonnes Pratiques sera distribué au service en ce début d’année. 17 modules de formation sont prêts pour 2017 à l’AViQ (pôle 3).
Des appels à projets seront lancés pour des formation par Internet par les services d’un montant maximum de 2500 euros par an.
Il y a eu 2 modules de formation aux familles en 2016 et il y aura des nouveaux en plus en 2017. Il y aura une journée de conférences pour ces formations pour les professionnels, une autre pour les familles.
Bonjour,
C'est ce qui a été dit (pas plus, pas moins). Nous n'avons pas visionné la moitié du powerpoint où cela était expliqué.
Nous en saurons probablement plus lorsque le powerpoint sera envoyé aux parlementaires.
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