Avec
les événements aux USA, et le parallèle fait en France avec l’affaire Adama
Traoré, on a ressorti Sibeth
du placard.
La
ficelle est grosse : on ressort celle qu’on avait cachée en raison des buzz négatifs à répétition dues à ses énormissimes bourdes de communication pour
démentir des violences policières. On ne me fera pas croire que le fait qu’elle
fasse partie d’une minorité n’a pas compté à 100 % dans cette résurrection.
Le
problème, avec Sibeth, c’est qu’on n’a jamais le meilleur. Que le pire.
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