Une
disposition prise au départ pour soulager des souffrances incurables et en vue d’une
fin très proche. Qui serait contre ? Certains extrémistes, intégristes, peut-être ;
mais les autres, certainement pas.
Sauf
que… on commence par là et c’est une décision humaine.
Le temps s'écoule, vous mettez de côté votre égoïsme et vous respectez la décision d'en finir de la personne qui était vraiment plus qu'au bout du bout de ses souffrances et était de toute façon très proche de la fin.
Mais les législateurs, dans leur « souci d’égalité », décident d’étendre
cette prise de "décision humaine" :
À l’enfant. Mais pas que ! À ses « interprètes » aussi !!!
Oui, ils l’ont fait.
Et voilà qu'on arrive à des buts purement eugénistes et économiques.
À
la lecture de l’article en lien ci-dessous, vous comprendrez qu'il coûte trop
cher à la société de compenser quand ça devient compliqué. Mais si ces frangins
avaient eu le choix de vivre une vie en équité ? Pensez-vous qu’ils
auraient opté pour la solution finale ?
Et
là aujourd’hui :
« Selon ses
proches, Tine ne souffrait pas d’une maladie psychique incurable. Deux mois
avant son décès, les médecins avaient posé un diagnostic d’autisme, sans
proposer aucune prise en charge. »
Je
me doutais qu’ils iraient jusque-là. Et ce n’est que le début.
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